• - Premier stage avec Rafale, incroyablement réussi ! (avec une merveilleuse surprise à la fin...)

    Pour le stage de Jau-Dignac avec Emmanuel Quittet, on n'était même pas sûr, au départ, que je prenne Rafale et, puis, on n'a pas eu le choix. J'étais pas très fière de la monter en stage avec Manu, j'avais peur de ne pas savoir la gérer et, finalement, ça s'est trop bien passé. Pareil pour le concours. Tout le monde a été impressionné !

    Rafale, après Forges, avait été ferrée par le maréchal de Lucie mais celui-ci s'est bien raté... Son ferrage a tenu 6 jours... Lors d'un entraînement aux Templiers avec Thomas, Raf s'est déferrée d'un antérieur avec le pinçon qui lui est entré dans le pied ! On avait peur que la, jument soit boiteuse pour Jau...


    Maman a donc contacté Servane pour lui dire que je n'aurais peut-être pas de poney pour le stage. Laure nous a appelés pour nous dire qu'elle connaissait, peut-être, un petit poney qui pourrait être super pour me permettre d'aller en Grand-Prix, un petit étalon arabe, et que Marie pouvait en connaître un autre aussi. On se disait aussi qu'il y avait Sonja chez eux que je pourrais peut-être monter puisque c'était une ponette qu'avait valorisée Marie l'an passé et qui était à vendre. Mais, comme Rafale, Sonja me faisait un peu peur...

    On a donc amené une Rafale qui n'était pas très régulière, en Gironde, mais on avait espoir que cela s'arrange au fil des jours.

    Pour le premier jour du stage, il n'y avait pas Emmanuel et on allait le faire avec Laure. Elle avait divisé la vingtaine de stagiaires en seulement deux groupes. J'étais dans le premier avec Louise. On était donc extrêmement nombreux et Rafale était un peu foldingue dès qu'elle était derrière un autre poney. Heureusement, après le galop, elle était plus disponible. Elle tractait moins.

    L'après-midi, on a refait une séance. Après avoir bien marché, quand Laure a dit de prendre le trot, j'ai demandé si je ne pouvais pas galoper tout de suite pour que ma ponette soit mieux, comme le matin. C'est ce que j'ai pu faire. Du coup, elle a mieux travaillé ensuite. Sauf quand la jument subissait des attaques de mouches plates, vlan les coups de cul ! Au galop, elle balançait les postérieurs, elle changeait de pied ! Comme ça plusieurs fois de suite. C'était rock'n roll ! Après la séance, on est allé marcher dans le cross avec tout le groupe.


    Le soir, on s'est installées, avec ma sœur, dans la première « yoghourt » ! La grande. Avec Noémie, Sarah, Victoria, Lola et Clothilde. A un moment, je suis revenue vers le club et j'ai rencontré Emmanuel Quittet qui venait d'arriver. Il a fait : « Oh non, pas elle ! Dites-moi qu'elle ne fait pas le stage ! ... Bon, ça va cocotte ? »

    Le mardi matin, avec Emmanuel, on est resté en deux groupes. Du coup, il nous a placées sur deux cercles. Il a remarqué que Rafale était un peu irrégulière, on lui a expliqué pour le ferrage.

    Ça allait en s'améliorant, on était optimiste pour la suite. La ponette n'était pas aussi frappadingue que la veille, pourtant on n'avait pas galopé.

    L'après-midi, on a débuté l'obstacle. Emmanuel avait fait 5 groupes de 4. J'étais encore dans le premier avec Louise. Il y avait aussi Clémence, la nouvelle cavalière de Moustic, et Clothilde. A la détente, Rafale était presque boiteuse, on guettait que ça n'empire pas de trop. On a fait comme d'habitude, les lignes. La séance s'est bien passée même si Rafale a fait un refus de ma faute. A main droite, elle était nickel au petit galop. A main gauche, elle accélérait un peu. Je ne me suis pas trop faite crier dessus, c'est dire ! Avec Rafale, en plus, j'étais contente.

    Le second jour avec Emmanuel, celui-ci avait redéfini d'autres groupes. J'étais toujours dans le premier avec Louise. On était moins nombreux, seulement 7. En dressage, on a travaillé plus les déplacements latéraux. Rafale était moins irrégulière que la veille.

    L'après-midi, nouveaux groupes pour le cross. Cette fois, j'étais dans le deuxième. Peut-être qu'Emmanuel craignait un peu que je me fasse treuiller... J'étais avec Lauryne, Oréade, Alice, Victoria, Noémie et Anthonia, une petite sur un poney B assez speed qui s'appelait Taboulé ! On a travaillé au trot puis sur des transitions galop-trot, trot-galop. Rafale y arrivait bien. Merci Louise pour tout le travail réalisé.

    C'était, par contre, la fête d'Anthonia qui se retrouvait dans la position de Louise lors de son premier stage avec l'entraîneur. L'entraîneur lui balançait des « branche tes fils sur Manu FM, mémère ! ». Quand Emmanuel dit « mémère », c'est pas bon signe ! Il vaut mieux qu'il dise « cocotte » ! Il nous a envoyées ensuite dans le « champ de patates » derrière le bois pour revenir sauter un tronc en hauteur. Ça y est, Rafale va faire sa folldingue ! Je me suis préparée pour tenter d'éviter qu'elle chauffe. Je lui disais non, je faisais un peu d'épaule en dedans, tout ça. Et j'y arrivais bien !

    Après un tronc en bas d'une descente, il fallait tourner tout de suite et repasser au trot. Raf faisait tout nickel. Je me suis prise encore un pile mais c'était pas grave. On est allé ensuite sur un contrebas que je trouvais déjà assez gros. On a fait un petit parcours pour terminer. Avant un gros quart de rond, Emmanuel m'a demandé d'avancer les mains, Rafale est restée en équilibre. Elle faisait ça au petit galop. « Incroyable, on dirait qu'elle a fait ça toute sa vie ! Il y a vraiment eu du chemin de fait depuis la première fois que je l'ai vue. Au départ, j'avais vraiment très peur pour Louise... »

    Le soir, Maman s'est rendue compte qu'à Pompadour, on s'était retrouvée à côté d'Anthonia, « la petite Anglaise avec son poney Barbie ». C'était bien Anthonia et Taboulé !

    Le jeudi, mêmes groupes de dressage, poursuite du travail de la veille. La jument était mieux dans ses pieds et dans son attitude.

     

    L'après-midi, Emmanuel nous a entraînés sur le gué en enchaînant un vertical, descente dans le gué, butte avec suite de la ligne d'obstacles. Pour le concours des jeunes chevaux, ils avaient mis un peu d'eau dans le gué, ça faisait une petite flaque. Dans notre groupe de cross, on était beaucoup moins nombreuses, seulement 4 car il n'y avait pas Lauryne, ni Noémie et Victoria. On a terminé par un petit parcours qui comportait des bonnes haies d'un niveau de As 2.

    Ce n'était pas comme mes stages avec Tornade, là, pour Rafale, il n'y avait pas de problème. C'est plus moi que ça impressionnait ! Et heureusement, pour la plus grosse haie, Emmanuel ne m'a pas regardée car la jument, devant, a accéléré sa foulée pour tomber pile bien avant de sauter. Sinon, elle ne m'a pas embarquée pour autant. Emmanuel me disait de poser mes mains, je le faisais et j'étais presque rênes longues. Emmanuel n'en revenait pas de comment Rafale se comportait avec moi. Mes parents non plus. Il a expliqué à Maman qu'à chaque fois qu'un poney comme ça changeait de cavalier, il progressait car le nouveau cavalier n'avait pas vécu le passé difficile avec le poney.

    Pendant le retour à pied du cross, il lui a raconté l'histoire de Boldo qui était un poney qui avait le même comportement que Rafale, qu'un moniteur lui avait confié car il n'arrivait pas à le gérer. Après beaucoup de travail, Boldo avait réussi des résultats à Lamotte et était allé aux Europe avec Martin puis avec ses deux filles. Par contre, s'il était le roi du dressage à l'entraînement, il n'avait jamais réussi à être vraiment présentable en reprise, tant il se mettait à chauffer !


    Le dernier jour, le matin, il pleuvait. On est quand même allé s'entraîner sur le cross car celui-ci serait pris, l'après-midi, par le concours des 6 ans. On a encore fait gymnastique sur des lignes autour du gué. Ça s'est encore bien passé pour moi avec Rafale. Emmanuel n'a pas fait monter les petits, comme tout le monde était trempé, disant qu'il leur ferait une plus longue séance l'après-midi.


    Sauf que, pendant la pause de midi, il y en avait beaucoup qui ne voulaient pas faire la dernière après-midi. On a fini à 5 pour une dernière séance de dressage. Pour le concours du lendemain, j'hésitais entre la Poney Elite ou la As 2, Emmanuel m'aurait bien vu direct en As 1 ! Suivant ses conseils, je ferais donc la As 2 mais il fallait que j'apprenne la reprise que je ne connaissais pas. Et en plus, je n'aurais pas le droit de mettre le gogue.

    Le soir, on a fait la reco du CSO avec Sacha. J'ai demandé à Louise de m'en refaire une seconde , « spéciale Rafale » ! Puis, j'ai appris la reprise avec Clémence qui l'avait faite plusieurs fois en fin de saison. Je lui ai récitée jusqu'à ce que je la connaisse par cœur.

    Le lendemain, tous les stagiaires passaient en dressage le matin. On devait être détendus par Sacha. J'ai préparé la petite biquette. A la détente, j'ai travaillé Rafale vers le bas. Sacha n'a pas fini ma détente car elle devait aller faire celle du CSO.

    En As 2, j'étais avec Alice, Alexia et Clémence. Il y avait aussi Louise (pas ma sœur, une autre) qui ne voulait faire que le cross (c'est une cavalière de CSO). On était jugées par Laure, la femme d'Emmanuel. Je devais passer la dernière. Je pensais que j'allais y aller après le passage d'Oréade et je voulais réciter une dernière fois ma reprise à Maman. J'étais en train de le faire quand Laure m'a demandé où était Louise. Je croyais qu'elle parlait de ma sœur qui était déjà partie sur le CSO. « Non, Louise Delere ». « Elle ne fait pas le dressage ». « Alors, c'est à toi ! » Laure m'a dit de ne pas me précipiter, qu'elle me laissait le temps de venir tranquillement.

    Je suis donc allée me présenter à sa voiture. J'ai mis Rafale au trot, fait le doubler. Arrêt, salut. Au moment de marcher, on m'avait dit de mettre mes rênes à la couture, ce que j'ai fait et Rafale a marché. Elle a commencé à courir un peu après X mais sans trottiner.

    Dès qu'on a rejoint la piste, la jument s'est dit : « Vite, le galop ! ». Sauf que, dans cette reprise, on ne part pas au galop mais au trot ! Elle a pas compris pourquoi on tournait et on partait en cession ! Rafale était dans une assez bonne attitude, pas trop haute. Dans l'ensemble, j'étais contente de cette reprise qui était ma toute première As 2 !

    Je suis vite allée préparer pour le CSO. La détente s'est effectuée rapidement car c'était vite à moi de passer.

     

    Louise m'avait dit de la monter assez guerrière au début sauf que je n'ai pas su trop bien doser, par rapport aussi à la hauteur du tour qui n'était pas difficile pour la jument. Elle est partie un peu trop vite. Sur le 1 et le 2, elle courait un peu mais ça allait encore. Elle fait une barre sur le 3 mais ça ne l'a pas calmée. Après le 4, Rafale était toujours au taquet : « Il est où le 5 ? » Je me faisais un peu trimballer.

    J'ai essayé de calmer le jeu. On est arrivées sur l'obstacle, elle a été surprise et se l'est pris dans les genoux ! Barre ! Sur le 6, du coup, elle a fait attention. Je l'ai recalée pour le double. Et, pour le dernier, elle a fait « spiderman ». Elle est partie de big loin, je ne sais pas comment j'ai suivi ni comment on n'a pas fait une 3e barre.

    On a fait la reco du cross avec Sacha et les filles de la As 2. Ça commençait comme ce qu'on avait déjà fait en stage sauf que le terrain était beaucoup plus glissant avec la pluie qui était tombée. On allait ensuite dans le « champ de patates » pour la 1ère minute mais j'allais pas trop m'occuper du temps. Pour le 4, il fallait vraiment se décaler car il y avait des branches sur le côté qui pouvait faire peur. On avait un double à deux ou trois foulées. Deuxième minute. On revenait vers le site qu'on avait beaucoup travaillé avec Emmanuel : le tronc, les haies autour du gué, la big haie. Les maisons, le trou et le dernier obstacle encore assez costaud. Normalement, on n'aurait pas dû avoir ce parcours là mais Pauline et Océane, la propriétaire de Lucky, son poney, ont demandé un parcours plus haut. Du coup, on a eu celui-là et les poneys Elite ont eu celui qui était pour nous au départ.


    C'est Marie qui nous a faits sauter à la détente. Je lui ai dit que Rafale devait d'abord galoper pour être bien ensuite. Elle était nickel, elle gardait un petit rythme, même rênes longues. J'ai fait le premier saut dans le pied comme m'avait dit Louise. Quand j'étais prête à y aller, j'ai demandé si je pouvais attendre le retour de ma sœur pour pouvoir mettre l'air-bag car Maman préférait que je le mette pour ce premier cross avec Rafiti.

    Rafale était trop contente : « On va crosser, on va crosser ! ». Dans la boite de départ, elle faisait : « Galop, galop, galop ! ». Elle était trop drôle ! Comme on n'a pas le droit de sortir à fond de galop, j'ai tenté de la retenir pour qu'elle sorte au moins au « petit galop ». Un, deux, trois, bien. Et, pour le 4, j'ai rien compris, la jument s'est arrêtée 4m avant... J'ai voulu lui montrer l'obstacle et, là, limite elle ne voulait pas s'approcher au pas... Je ne sais pas de quoi elle avait peur. Je suis revenue dessus au galop et je l'ai laissée accélérer pour qu'elle veuille bien le sauter !

    Comme elle était montée en pression, j'ai voulu qu'elle décompresse et je l'ai obligée à faire trois foulées dans le double. Sur le tronc, elle m'a fait un de ces sauts, je me suis faite décapsuler ! Ça va, je suis encore en vie ! Sur les grosses haies, pareil, décollage ! La maison, le trou. Raf était contente de sauter un trou et le dernier. Mon cross s'était bien passé, Rafale ne m'avait pas trimballée.

    Quand j'ai raconté à Louise que Raf avait fait un refus sur le 4, elle ne comprenait pas trop, la ponette ne s'arrête jamais, mais d'autres ont fait pareil à cet endroit et Vidoc aussi a hésité dessus. Il devait vraiment y avoir quelque chose qui faisait peur aux chevaux.

    Du coup, au niveau des résultats, j'étais 3e après le dress, même pas dernière ! C'était Clémence qui avait pris la dernière place avec Moustic car elle avait écouté Sacha qui lui avait dit de remonter le poney avant la reprise. Et, avec mes 8 points et mon refus, j'ai terminé dernière. Pas grave. En plus, à Jau, ils offrent le flot du dernier !! Jamais vu ça ! J'étais contente d'avoir un petit flot.


    Le soir, c'était le concert du festival « Salut à vous » et je voulais y assister. Mes parents m'y ont déposée, je rentrerais avec les autres du club pour ma dernière nuit dans la yourte. Il y avait Tom Frager comme chanteur, les filles étaient folles de le voir. Moi je me disais « c'est qui lui ? » ! Bon, je connaissais quand même une chanson, Lady Melody « elle est dans ma tête, elle ne m'abandonne jamais, je la trouve encore plus belle quand elle s'habille en reggae ».


    Je suis rentrée vers minuit dans la voiture de Sacha et, quand on est arrivé au club, les personnes du club de Saintes (qui avaient pris en charge le concours pour aider la famille Gagneux) nous ont dit que des chevaux s'étaient échappés des prairies. Une vingtaine ! Ils ont été retrouvés vers le dressage et ont été ramenés au manège. Il y en a deux qui se sont re-sauvés tout de suite et qui ont entraîné tous les autres ! On a mis trois heures à les ramener en, encore, il en manquait quatre qui sont revenus le matin. Quelle aventure !

    Le lendemain matin, le dimanche, on a chargé les affaires pour rentrer. Maman aurait voulu revoir Laure pour lui parler encore du poney qu'elle nous avait indiqué. Mais il y avait encore des activités avec le festival et Laure n'était pas au club.  En même temps, comme mon stage s'était très bien passé avec Rafale, mes parents n'étaient plus sûrs qu'il me faille absolument un second poney (et si Rafale réussissait à faire comme un certain Boldo ?!).  

    En attendant que le bac sorte du port du Verdon, Maman a quand même appelé Rémi. Pas de réponse, elle a laissé un message sur le répondeur. A Royan, on a repris la route. On allait s'arrêter pour manger quand le cavalier a contacté Maman. On pouvait venir essayer le poney ! On avait dépassé Saint Jean d'Angély d'une heure mais on était toujours plus proche de chez eux que si on était rentrés chez nous. On a mis ma selle dans la voiture, Louise est montée avec nous et on a laissé Papa repartir tout seul avec les chevaux et le camion. On était trop excitées ! Surtout ne pas s'emballer, c'était pas parce que j'allais monter Tamam qu'on pourrait l'avoir ! Mais, au moins, je pourrais essayer un super poney qui sort déjà en CIC* !


    On a été bien reçues par Rémi et Laurence, la propriétaire de Tamam. On a sorti le poney de sa pâture. Il est trop mignon, trop joli, trop gentil. Une vraie bouille d'amour comme Vidoc, une tête à bisous ! Rémi nous a montré qu'il faisait pile 1.50m donc dans les cotes poney. Il l'a monté en premier dans la petite carrière pour que je puisse le voir bouger et, après, ça a été à moi. J'ai commencé à le marcher et, quand je l'ai mis au trot, ça m'a fait tout bizarre ! « Oh, c'est quoi ce trot ! C'est quoi ce trot ! » Je décollais limite de la selle ! Et, en plus, Rémi me disait que c'était le strict minimum qu'il me donnait à ce moment... !

     

    Il m'a demandé d'essayer d'allonger et j'ai aussi fait... le strict minimum ! Je l'ai galopé pour commencer à sauter. Petite croix. Petit Tamam voulait vraiment y aller ! On a monté un peu les barres. Sur les dernières foulées, le poney m'emmenait un peu et je me faisais décapsuler légèrement ! On est resté sur une hauteur de un petit mètre environ. Le petit Tamam, c'est le meilleur ! J'ai adoré !


    Après l'avoir ramené au pré, on est allé un peu discuter avec Rémi et Laurence pour savoir s'il y aurait une possibilité qu'on puisse l'avoir. C'était un moment important car on ne savait pas ce qu'ils pouvaient nous proposer. En fait, ils voulaient le louer pour quelques saisons pour pouvoir le garder ensuite. Ça tombe bien ! Ils n'avaient pas trop idée de comment ça se faisait car ils ne l'avaient jamais fait et allaient se renseigner là-dessus. Ça nous laissait donc beaucoup d'espoir pour que ça se fasse. Par contre, il ne serait disponible que plus tard car Rémi avait encore des grosses compéts avec lui dont un CIC* à Châteaubriant. On essayera de pouvoir aller le voir à cette occasion. On est donc reparties super enthousiastes de chez eux pour rentrer à la maison. C'est sûr que plus personne n'avait envie de dormir ! On a fait un peu nos petites folles au Mc Do ! On croise les doigts pour que Tamam puisse venir chez nous prochainement. C'est un poney avec lequel nous pourrions aller loin !


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